La Maison Juvénal des Ursins **** est situé dans le CENTRE HISTORIQUE de TROYES au CŒUR DU BOUCHON de CHAMPAGNE, dans la plus emblématique des rues Troyennes avec vue sur l'église de la Madeleine. Cette maison de ville de trois étages comprend 6 chambres de 8 à 23 m², une télévision à écran plat et accès internet, une cuisine équipée ouverte sur un salon salle à manger de 80 m² (équipé d'une cheminée), d'une terrasse de26 m² et d'un tout petit jardin de 9 m². Le linge de maison est mis à disposition ainsi que les produits d'hygiènes.

Bonjour, je m'appelle Nicolas et je suis passionné par l'accueil et la convivialité. J'ai le plaisir de vous proposer la location de mon gîte, un lieu chaleureux et accueillant, idéal pour des séjours en famille ou entre amis. Je m'efforce de créer une atmosphère paisible et confortable pour mes hôtes, en veillant à ce qu'ils passent un séjour inoubliable. Au plaisir de vous accueillir dans mon gîte et de partager avec vous la beauté de Troyes.

La Maison Juvénal des Ursins est situé AU CŒUR DU BOUCHON DE LA VIELLE VILLE DE TROYES, à quelques mètres de la rue Champeaux, la Ruelle des Chats est la plus emblématique des rues troyennes s’enrichit en 2014 d’un ensemble de trois nouvelles maisons à pans de bois, reconstituées de toutes pièces d’après des cartes postales anciennes et des gravures d’époque. L’une d’entre elle est La Maison Juvénal des Ursins. Cette rue est ainsi nommée parce que, dit-on, les chats peuvent sauter d’un toit ou d’un grenier à l’autre tant les maisons sont à deux doigts de se toucher. Des étais les empêchent d’ailleurs de basculer complètement l’une vers l’autre. Pavée à l’ancienne, comme l’étaient les rues de Troyes dès le XIIIe s, la ruelle des chats a une rigole centrale selon l’usage d’alors : les privilégiés « tenaient le haut du pavé » pour ne pas se salir. Sombre mais charmante, elle mène vers la très jolie cour du Mortier d’Or, qui vous permettra de voir l’arrière des maisons à pans de bois, avec leurs belles galeries coursives. Les abouts de poutre sont sculptés de sujets d’inspiration souvent guerrière. L’ensemble est restauré en 1981 par les Compagnons du Devoir. Pavée à l’ancienne, comme l’étaient les rues de Troyes dès le XIIIe, la ruelle des chats a une rigole centrale selon l’usage d’alors : les privilégiés « tenaient le haut du pavé » pour ne pas se salir. Le long des murs, des bornes de pierre (« bouteroues ») servaient à protéger les maisons lors du passage des charrettes.